Eddy De Pretto

Trackimage Playbut Trackname Playbut Trackname
Fête de trop 00:00 Tools
Kid 03:06 Tools
Random 00:00 Tools
Beaulieue 00:00 Tools
Normal 00:00 Tools
Quartier des lunes 00:00 Tools
Rue de Moscou 00:00 Tools
Ego 00:00 Tools
Jimmy 00:00 Tools
Début 00:00 Tools
Mamere 00:00 Tools
Honey 00:00 Tools
Desmurs 00:00 Tools
JUNGLE DE LA CHOPE 00:00 Tools
Musique basse 00:00 Tools
Genre 00:00 Tools
Fête de trop - Single Version 00:00 Tools
Random | A COLORS SHOW 00:00 Tools
Fete de trop 00:00 Tools
Debut 00:00 Tools
Fête de trop (Single Version) 00:00 Tools
Beaulieue - Vevo dscvr 00:00 Tools
Kid (Clip Officiel) 00:00 Tools
On n'est pas couché 3 mars 2018 #ONPC 00:00 Tools
Fête de trop (Clip Officiel) 00:00 Tools
Normal (Clip Officiel) 00:00 Tools
Fête de trop [Explicit] 00:00 Tools
Monodrogue 00:00 Tools
Paris-pareil 00:00 Tools
Kid [Explicit] 00:00 Tools
Fête de trop - EP Version 00:00 Tools
Rêve américain 00:00 Tools
  • 228,500
    plays
  • 12,004
    listners
  • 228500
    top track count

Eddy de Pretto naît le 2 mai 1993 et grandit à Créteil, dans le Val-de-Marne, aux côtés de son père, chauffeur de poids-lourd et fan de football, et de sa mère, technicienne de laboratoire « passionnée de culture », d'origine réunionnaise. La ville natale à laquelle fait référence sa chanson Beaulieue et à laquelle il doit beaucoup, lui a donné « une certaine rage, une envie de me dépasser. Il y a un peu ce truc de carcan en banlieue, qu'on le veuille ou non : on nous dit qu'on est en marge, qu'on va arriver à rien, qu'on va mal finir. Moi j'avais des rêves plein la tête et une petite voix me disait que j'allais y arriver. L'envie de m'en sortir m'a aidé à y parvenir », raconte-t-il dans une interview. À l’âge de douze ans, il commence à prendre des cours de théâtre, de chant, de technique vocale et de piano : « Je prenais la télécommande pour faire un micro et je tournais l’halogène pour faire la lumière. Du coup ma mère m’a proposé de prendre des cours de théâtre vu que je n’excellais pas au sport». Il poursuit sa formation à l'Institut supérieur des arts de la scène (ECM-ISAS), à Paris. Eddy de Pretto fait ses premiers pas d'acteur en commençant par la publicité télévisée, notamment dans le rôle du jeune Jules César pour CanalSat en septembre 201010,11, avant d'entamer dans le monde théâtral et celui de cinématographique : les courts métrages Königsberg de Philipp Mayrhofer en 2012 et Vivre sa vie de Paul D. Meyer en 2013 ainsi qu'une apparition dans le long métrage Paulette (2013) de Jérôme Enrico. Entre dix-huit et dix-neuf ans, il commence à écrire ses chansons. Il chante la première fois I Believe I Can Fly de R. Kelly devant le public de la Maison des jeunes et de la culture (MJC) de son quartier : « J’étais tout frêle, […] tellement stressé parce qu’il y avait beaucoup de rap et je n’étais pas du tout dans ces codes-là », raconte-t-il dans une interview. Il participe au Printemps de Bourges, dont il remporte le prix des Inouïs, et à Bars en Trans, et est lauréat des inRocKs Lab 20162. Il se joint également en octobre 2017 au Festival Off Off Off des Nuits de Champagne à Troyes. Kid et Cure Il sort son premier EP, intitulé Kid, le 6 octobre 2017. Pour les lives de son EP, il lance les morceaux depuis son iPhone relié à un câble, il n’a pas de musicien excepté un batteur lors de ses concerts. Début janvier 2018, sur la scène de l'émission de télévision Taratata, il chante Comme un boomerang en duo avec Julien Doré, jadis interprétée par Dani et Étienne Daho15 en 2001. À la mi-janvier 2018 il lance Random, la première chanson de son futur premier album Cure16, évoquant ses peines de cœur16. Aux côtés de Gaël Faye et Fishbach, il est nommé dans la catégorie « Révélation scène de l’année » à la 33e cérémonie des Victoires de la musique qui se déroule le 9 février 201817,16,18 : Gaël Faye en est le vainqueur. Mi-février 2018, il présente son titre Ego sur « une instrumentale épurée et mécanique » et à propos duquel l’interprète s’explique : « Je pose l’éventualité de devenir dingue à cause de la vitesse à laquelle va le projet. À force d'entendre des éloges, le « trop de soi » implose, et c'est le risque que j’expose ici. La peur simple de tomber dans le fanatisme de soi-même par les réseaux sociaux, les mots d'amour, et tout autre signe qui flatte et qui crée ce monstre d'ego. » Le 2 mars 2018, il sort son premier album Cure, disponible en CD, vinyle et en version dématérialisée. En même temps se révèle le clip de Normal abordant stéréotypes sur l'identité sexuelle, peur d'autrui et homophobie : « Une colère vis-à-vis de gens qui m’attaquaient parce qu'ils n’aimaient pas la personne que je pouvais représenter », explique-t-il dans le magazine Têtu. Le clip est tourné au centre des YMCA, rue de Trévise à Paris dans la plus vielle salle de basket-ball au monde[réf. nécessaire]. Une semaine après sa sortie, le disque se classe numéro un des meilleures ventes d'albums, avec 13 500 exemplaires et « déloge » Grand Corps Malade au Top albums France Fnac. L'album est certifié en France disque de platine. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.